Le #ChallengeAZ aura au moins (mais pas seulement, bien sûr) eu le mérite de me faire regarder sur Google Maps où se trouve Ugny-sur-Meuse.
Je n’ai pas pris cette commune au hasard, bien que le U ne m’inspirait pas trop – il y a bien un prénommé Urbain, ancêtre à la 12e génération, sur lequel je ne sais pour ainsi dire rien, ou encore Uzel, non pas la commune (Côtes-d’Armor), mais le nom de famille, dans la presqu’île de Rhuys (Morbihan), ou des mots comme utopie, ubéreux, voire USA
Bref, Ugny-sur-Meuse, c’est là.
Doutons que Nicolas GREGEOIS se doutait son petit fils (homonyme) allait traverser la France en ligne droite vers l’Ouest pour aller épouser une quimperloise en pleine Révolution française !
Nicolas GREGEOIS (sosa 1112, génération 11) est maître maréchal-ferrand. Il s’est marié à Ugny-sur-Meuse (en est-il originaire ? je n’ai pas encore vérifié…) le 27 janvier 1688 avec Barbe FRANCOIS, de Vaucouleurs. Il signe l’acte.
Veuf, il épouse en Catherine THIERRY le 6 mai 1710, toujours à Vaucouleurs. Sa seconde épouse est née… en 1688, année de son premier mariage. Les époux ont bien 25 ans d’écart. Le couple a 7 enfants, nés entre 1712 et 1726. En 1718, le petit Nicolas voit le jour (lequel aura un Nicolas qui aura un Nicolas…).
Outre le fait de positionner Ugny-sur-Meuse sur une carte, ce billet en U aura également été l’occasion … de chercher le décès de Nicolas GREGEOIS, qui me manquait jusqu’à présent (faute d’avoir cherché…) trouvé à Vaucouleurs le 2 juin 1737.
Illustration : acte issu des Archives de la Meuse.
Comments est propulsé par CComment