Dernières heures de janvier, je suis encore dans les temps pour le généathème du mois consacré aux épines généalogiques.
L’une des miennes porte bien son nom : Lépine. Enfin de Lespine, puisque le blocage se situe au tout début du XVIIIe siècle, et que le bonhomme signe ainsi.
Il en avait déjà été question lors du Challenge de A à Z : il s’agit du petit dernier de la légende familiale (voir article) :
François de LESPINE (vers 1656-1717, Guérande), celui dont je ne sais rien, et dont je sais tant de choses… Il signe (au moins une fois) de L’Espine de Villoiseau. Il est aussi employé des fermes du roi, comme receveur des boucheries, du tabac, des vins, boissons et spiritueux (alternativement, pas en même temps !). Il a failli être estourbi par un boucher furieux d’être mis à l’amende. Il était bourgeois de Paris, ce qui signifie qu’il y a au moins demeuré un an. Il s’est marié avec Marie DESFONTAINES, mais où ? Il a eu au moins 8 enfants… Son inventaire après décès s’élève à plus de 1000 livres… mais les actes notariés de l’étude ne sont conservés qu’à partir de 1719 (snif).
Tous les détails en ma possession et articles à son sujet sur sa fiche généalogique
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